* Témoignage *

J’ai par hasard entendu parlé de la CASIM et après avoir découvert l’histoire et l’esprit de cette asso, je me suis inscrit sans hésiter. Résultat, j’y ai trouvé exactement ce que je cherchais, et même un peu plus. Chaque journée passée là bas m’a apporté un nouvel outil pour rester sur ma moto, ainsi que des conseils pour prendre soin de ma machine. Et en plus, j’ai découvert au fur et à mesure tout un tas de motards(es) passionnés(es) tous(tes) bienveillants(es) envers le jeune motard que je suis, sans parler du plaisir de rouler en groupe (plus de 40 motos garées sur le même parking, avouez que ça a de la gueule !)

Bah du coup, j’ai pas mal roulé, d’abord pour le plaisir, et aussi pour accumuler rapidement de l’expérience. Mais il manquait quand même quelque chose.
Je trouve que le permis moto est plutôt formateur, mais ce n’est pas en 20 ou 30 heures que l’on apprends à maîtriser une telle machine. Et une fois le permis passé, et bien à part des stages ponctuels et souvent coûteux, il est difficile de profiter de vrais outils de formation. On prend vite de mauvaises habitudes qui plus est…

J’ai par hasard entendu parlé de la CASIM et après avoir découvert l’histoire et l’esprit de cette asso, je me suis inscrit sans hésiter. Résultat, j’y ai trouvé exactement ce que je cherchais, et même un peu plus. Chaque journée passée là bas m’a apporté un nouvel outil pour rester sur ma moto, ainsi que des conseils pour prendre soin de ma machine. Et en plus, j’ai découvert au fur et à mesure tout un tas de motards(es) passionnés(es) tous(tes) bienveillants(es) envers le jeune motard que je suis, sans parler du plaisir de rouler en groupe (plus de 40 motos garées sur le même parking, avouez que ça a de la gueule !)

Alors allez y foncez, mais avec prudence bien sûr »

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